Réussir le DCG

Le DCG c’est dur, oui comme beaucoup de cursus, mais c’est normalement votre objectif, votre ambition. L’exigence est haute avec une moyenne aux écrits 8.36/20 et un taux de réussite 2022 de  36.4%. Ce taux de réussite est proche de la réussite dans la première année d’étude supérieure.

Le nombre d’abandons est conséquent. Mais pensez-vous réellement que cela est uniquement le cas dans votre filière ? Non c’est le cas dans la plupart des cursus. Nous choisissons notre orientation au lycée, et entre nos choix d‘adolescent et la réalité du jeune adulte que vous êtes parfois il y a un décalage. Notre système français nous permet de nous réorienter surtout quand nous sommes bien accompagnés comme cela est le cas dans plusieurs écoles.

Un examen et non un concours le DCG, quelle différence ?

Quand on écoute les conversations des étudiants et des parents, on entend parfois “la concurrence est rude”. Cela est intéressant, car le DCG est un examen sans quota où finalement il ne suffit “que d’avoir 10” pour valider. Certes c’est difficile, mais plus accessible qu’un concours où seulement les meilleures notes seront admises. Alors finalement aucune concurrence réelle, c’est uniquement un travail personnel avec des apports indispensables qui mèneront à votre réussite.

Suffit-il de connaitre et maitriser son sujet pour réussir ?

Vous allez écouter, apprendre, questionner, lire, tester et mettre en application dans un cabinet d’expertise comptable. Vous pourrez être efficace dans vos missions sans obtenir le DCG, mais pourquoi ? Le stress !

Le stress pourra vous faire procrastiner, diminuer votre énergie, avoir des blancs, trembler devant votre copie ou encore avoir un 9 là où sans stress vous auriez eu un 10 ou 11.

Oui, vos études seront stressantes par la quantité de choses à apprendre, la pression que vous vous imposez ou que la société (parents, amis) vous met. L’alternance est aussi un facteur supplémentaire de stress par l’accumulation de fatigue et la discordance entre ce que vous apprenez et la réalité du terrain. Le rythme de travail est quand même bien différent des années lycée.

Plus de travail en autonomie est nécessaire, les méthodes d’apprentissages changent et l’exigence monte. Alors forcément il y a du stress, de la remise en question.

Alors, comment faire pour réduire le stress durant ces études ? 

Outils pour diminuer le stress des études et préparer les périodes fiscales.

Le stress est un mécanisme qui s’enclenche quand votre cerveau à la perception (réelle ou imaginée) d’un décalage entre ce que l’on vous demande et vos ressources. Prenons un exemple : lire un livre en Indonésien.

Pour la plupart d’entre vous (voir la totalité), vous n’avez aucune connaissance en indonésien. Votre cerveau estime vos ressources comme très faibles pour faire face à une demande assez difficile. Alors dans ce cas de figure votre cerveau à la perception que l’on vous demande quelque chose de trop difficile par rapport à vos ressources = stress. 

À l’inverse, pour un livre en français. Vous savez (à priori) tous le lire donc vos ressources sont bien plus grandes. Suffisamment pour répondre à la demande = sérénité.

Et c’est ce mécanisme qui engendre les phrases du type “C’est trop dur”, “Je ne vais pas y arriver” ou encore la boule au ventre d’avant examen ou les insomnies, ou le niveau de tension musculaire, etc.

Alors quels outils sont utiles pour lutter contre le stress ? 

On entend beaucoup parler de sophrologie (très à la mode) malgré le fait que scientifiquement les résultats soient mitigés, dirons-nous.

Par contre il existe des techniques de relaxation plus anciennes et elles, validés scientifiquement, qui (avec un peu d’entraînement) vous permettront, en 5 minutes avant un examen de faire redescendre votre rythme cardiaque, calmer vos pensées parasites et retrouver une concentration de qualité. Au delà de diminuer le stress, cette technique de jacobson a vraiment une efficacité pour faciliter l’endormissement, calmer les angoisses, améliorer la concentration, diminuer les douleurs (acouphènes, migraines, douleurs articulaires, neuropathiques ou autres). 

C’est au moins une de ses techniques que nos coachés ou élèves du IHECF apprennent et qui leur permettent d’arriver serein à leurs examens et de le rester même dans les moments importants dans leur vie professionnelle.

Sans parler d’autres points essentiels comme le dialogue interne, la persuasion verbale permet une meilleure confiance en soi, renforce votre concentration et bien évidemment diminuer considérablement votre stress. Bien loin des méthodes en vogue “je vais bien, tout va bien, je suis le/la meilleure”. Nous aborderons cet outil qui paraît simple et qui peut l’être à condition de s’entrainer dans toutes les facettes de notre vie. 

La bonne méthodologie d’apprentissage

Petite devinette : Vaut-il mieux réviser 6h sans méthode, sans pause, allongée sur son lit ? Ou trois fois deux heures en étant actif et en faisant des pauses ?

(même sans avoir appris les fondamentaux de la mémoire vous devez avoir la réponse).

La quantité c’est une chose, mais la qualité c’est mieux ? 

On vous parle de méthodologie, mais sans vous avoir clairement explicité ce que c’est avoir une bonne méthode ! 

• “Je fais des fiches, est-ce bon ?” Oui et non, surtout si votre façon de retenir est plus auditive que visuelle. 
• “ j’aime travailler en musique, mais on me dit que cela est mauvais” “Je suis plus efficace le soir que le matin est-ce normal ?”
• “J’apprends par cœur, ou je déteste apprendre par cœur, que dois-je faire ?” 

Vous découvrirez lors de notre intervention / coaching étudiant les 4 grandes étapes de l’apprentissage et des révisions. Nous répondrons à vos questions pour individualiser et que vous gagniez en efficacité dans votre préparation au DCG.

Savez-vous qu’au lycée c’est 2 points de moyenne gagnés juste en appliquant cette méthode ? 

Cette méthode s’appuie sur les connaissances scientifiques de la mémoire à court et long terme. Elle soit se tester, s’entrainer et surtout s’adapter à votre personnalité. 

Notion clef pour réussir un oral 

Nous sommes en France bien souvent très mauvais à l’oral, logique, nous passons trop et vraiment beaucoup trop de temps à écrire, gratter plutôt qu’à nous exprimer. Et pourtant dans votre futur métier, vous allez être en permanence en relation avec les clients, les entreprises, vos collègues, collaborateurs et peut-être futurs associés. 

Si vous avez besoin de concret : pour parler distinctement, savoir quoi répondre en cas d’incompréhension. Mais quoi faire de mes mains ? Où  regarder pendant mon oral ? Et comment gérer le timing, voici des articles pratico-pratiques.

 https://lc-coach.fr/reussir-mon-concours/ 

https://lc-coach.fr/rater-son-oral/ 

La réussite ne dépendra que de vous, de votre adaptation aux demandes et des efforts que vous fournissez pour avoir les ressources nécessaires. La préparation mentale et le coaching vous permettront de diminuer le stress, d’améliorer vos apprentissages, d’optimiser votre communication pour réussir le DCG mais surtout être mieux positionner dans votre vie professionnelle.